Son cerveau calcule assez mal le risque. Il a, par exemple, une forte tendance a avoir plus peur de la fréquence d’un risque que de son impact.
En assurance, les clients se couvrent souvent trop pour des petits risques fréquents et trop peu pour des gros risque rares, ce que n’aurait pas fait un ordinateur prenant rationnellement des décisions
Un voyagiste a gagné de nombreux clients en ajouter une information vérité sur les risques de ses offres, hôtels, pays,…