Dans une partie bien identifiée de votre cerveau, vous avez, assis confortablement, un petit homme qui regarde attentivement deux écrans.
Le premier est celui de vos yeux, où il voit ce qui se passe vraiment. Le second est l’écran de votre imagination, celui où il voit ce que vous pensez qui devrait arriver.
S’il existe une différence entre ce qu’il voit sur les deux écrans, le petit homme pousse sur un bouton qui vous donne une giclée d’hormone de stress dans le sang. Il vous prépare à faire face à cet imprévu.