Mettez-y le bon poids
A la seule vue d’un objet, la zone pré-motrice de votre cerveau évalue immédiatement son poids. Au cas où vous auriez l’idée de lui demander de le prendre, elle doit préparer la balistique nécessaire.
Au moment où vous saisissez l’objet, s’il est significativement plus lourd ou plus léger que votre cerveau n’avait prévu : alerte de divergence d’information. L’objet est remis en rayon.
Exemples. Pour la zone pré-motrice, un objet de qualité doit être plus ou moins lourd, le neuromarketing va donc ajouter artificiellement du poids à l’appareil pour que le cerveau, en le saisissant, n’allume pas la zone « divergence sensorielle » .
Faites toujours prendre, soulever vos futurs produits par les clients test. Même si c’est une boite de médicament. L’industrie pharmaceutique le demande toujours au cogniticiens avant de lancer un médicament. Et rajoute ou enlève quelques grammes pour satisfaire le sens kinesthésique du client. C’est un détail qui peut faire la différence avec un compétiteur.
Vous serez surpris de constater que le cerveau se forme toujours une idée précise et sans appel du « bon » poids que devrait avoir un objet. Rien qu’en le voyant. Il doit se préparer à le prendre.
Si vos clients test trouvent votre futur produit trop lourd ou trop léger, ajustez
Lisez juste ci-dessous pourquoi nous avons le mal de en mer en cas de divergence entre les informations reçues et prévues. Vos produits ne doivent pas faire vomir le client!
