Nous achetons ce que les autres achètent surtout si ces autres sont nos modèles, nos dominants
L’entreprise n’a pas attendu les neurologues pour faire porter les produits par des célébrités. Mais le neuromarketing permet d’affiner les choses.
Si la célébrité est trop différente du client, trop belle, trop riche, elle vole la vedette au produit. Et le client rejette le produit comme « pour elle, donc pas pour moi »
Mettre alors monsieur et madame tout le monde comme prescripteur ? » Si une personne qui me ressemble l’achète alors c’est que je peux moi aussi ». Mais, revers de la médaille, « Ce produit ne me grandira pas »
L’efficacité commerciale est au milieu : des porteurs de produit qui nous ressemble mais en un peu mieux.
Les images fines du cerveaux du neuromarketing aident à trouver des porteurs de produit qui allument à la fois les zones de reconnaissance de similarité, c’est comme moi, et les zones de promesse de mieux, juste un peu mieux.